Jean-Michel PITON » Musiques & Mots de l’Âme »
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Jean-Michel Piton compile ses musiques et mots de l’âme
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Par bonheur, Jean-Michel Piton récidive
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Critiques de presse concernant le spectacle
« Musiques et mots de l'âme »
Piton, on l’a dit, est passeur de poésie. En notre époque, passeur est quasiment un gros mot, fonction délectable mais délictueuse : on passe la poésie, l’intelligence en contrebande, au nez et à la barbe d’une indifférence érigée en art de vivre. Passer la poésie est faire acte de résistance, c’est devenu impérieuse nécessité. Ce disque-là mérite de se vendre sous le manteau, comme un réflexe évident, un acte de survie. Ça vise le cœur, ça le touche, ça fait mouche. Les musiques de Piton donnent plus encore de liberté, d’ampleur aux mots ; ça les gonfle, comme si ces vers endormis attendaient depuis longtemps le baiser des notes pour qu’à nouveau ils se propagent en nous.
Michel KEMPER ( Nos Enchanteurs)
C’est un chant traversé par sa vie et la nôtre, ses mots et les nôtres, ceux des poètes savants et populaires, ceux des alcôves et ceux de la rue, ceux de notre langue tant aimée. Merci Jean-Michel PITON de nous rappeler que rien n’est perdu tant que l’on chante. Au fond, ce n’est peut-être que cela être un véritable chanteur engagé.
Bruno RUIZ
Critiques de presse concernant le spectacle de Dimey
« L’Homme de la manche »
Il faut saluer là un travail de très haute tenue qui confirme les qualités peu communes de compositeur et surtout d’interprète. Un spectacle complet, panorama humain d’une drôlerie rare qui tirerait des larmes dans une pirouette à ces mots en glissade qui s’infiltrent en nos veines. Jean Michel PITON/Bernard DIMEY un alliage subtil et vinaigré. Je le dis et je prends date : « L’Homme de la manche », c’est le visage de l’homme ravagé dans toutes les nuances des splendeurs pathétiques. Un moment rare.
Bernard KERYHUEL
En onze années de spectacles organisés au Forum Léo Ferré, rarement il m’ara été donné d’assister à un triomphe comme celui qui fut réservé à l’artiste à l’issue de cette soirée du 27 mars dernier. Et je vais vous confier une chose c’était amplement mérité !
Floréal MELGAR ( blog : Crapauds et Rossignols)
A la fin de ce spectacle, nous étions tous KO. Je pèse mes mots : Si nous sommes nombreux à regretter de n'avoir jamais vu Brel sur scène, j'ai de la peine pour ceux qui l'ont vu, qui ont disparu depuis et qui ne verront forcément jamais " L'homme de la Manche " joué par Jean-Michel Piton. Oui, j'ose comparer les deux artistes. Une même énergie et une intelligence menée à son point culminant.
Jean marc Dermesropian (Direction Artistique Vaison La Romaine)
Pas un applaudissement dans la salle, tout juste quelques sourires à l'évocation de quelques bons mots du grand poète jusqu'à l'ovation finale qui ne pouvait tromper personne, Le public était sous le charme, que dis-je sous le choc devant tant de talent. J'ai entendu parler de « Claque », de « baffe »de « direct au plexus » d'une immense émotion en tous cas.
Albert weber (Planète Francophone)
Comme Dimey, Piton c’est la poésie passion, la lecture violente, puissante et qui prend aux tripes. Un regard sur la vie et les hommes, lancé comme une claque. Un poète sensible et fraternel .La tendresse des sentiments et la force des mots de Dimey ont trouvé leur meilleur ambassadeur. Piton s’est envolé hier et le public avec lui.
Anicet SEURRE (Festival Dimey Nogent. Journal de la Haute Marne )
Et ce géant qu’on a entraperçu dans les pages, on le voit vivre sur scène avec Piton. C’est Dimey qui traverse le plateau dans cet opéra de mots, soulignés par les notes de Nathalie Fortin et Bertrand Lemarchand . Si la goélette de Jean-Michel Piton passe par chez vous, embarquez le temps de ce voyage avec Dimey, l’ogre blessé, le géant titubant, capitaine au long cours d’une Odyssée au cœur de l’humain.
Norbert Gabriel (leblogdudoigtdansl’œil)
Jean-Michel Piton a choisi une certaine grandiloquence, la tentation de la tragédie très éloignée des bars et du Beaujolais où certains seraient tentés d’enfermer ce répertoire poétique d’une exceptionnelle richesse. Approcher ainsi les textes de Dimey c’est être confronté à la tragédie de notre humaine condition, entraînée inéluctablement vers sa fin. Dimey était clown à sa façon. « Les rires, ils sont frigorifiés » mais aujourd’hui encore, même s’il est « parti faire le con chez les anges », il nous « vend du paradis » quand on le chante, quand on le met en musique, quand on le déclame avec force comme Jean-Michel Piton ce soir.
Claude Fèvre ( Blog : « chanter c’est lancer des balles » )
Mais tous les spectacles consacrés à Dimey n’ont pas cette force, cette qualité. Une véritable performance de chanteur-comédien, un tour de force tout en sensibilité et en humanité. Un Piton qui chante et dit. Qui incarne absolument son personnage. Il nous livre son Dimey, sa vision de Dimey, écorchée et émouvante. Un choix de textes marquants avec un fil conducteur tissé par le personnage joué.
Mick de Toulouse ( Hexagone)
Critiques de presse diverses
Lorsque Jean Michel PITON apparaît pour un spectacle consacré à Bernard DIMEY, les Parisiens en âge d’avoir fréquenté la Butte-Montmartre jusqu’au années 70 ne peuvent manquer de faire le rapprochement entre barbe fournie et silhouette arrondie que l’artiste affichait ce soir-là sur la scène du Forum Léo-Ferré et que le poète promenait naguère dans les rues en pente du quartier des Abbesses. Mais on aurait tort de ne voir qu’une sorte de similitude physique entre ces deux personnages. Il y a longtemps, en effet, que Jean Michel PITON s’est penché sur l’œuvre de Bernard DIMEY. Il a mis le poète en musique (la Tamise), lui a rendu sans doute le plus bel hommage en chanson (Lepic) et lui a déjà, par le passé, consacré quelques soirées.
C’est, selon les moments, généreux, nostalgiquement émouvant, poignant ( le texte final Les pieds devant, en aura ce soir-là bouleversé plus d’un ) ou drôle, bref, c’est magnifique !
Floréal MELGAR
Sans doute une des plus belles voix de la chanson vivante…Des textes et des musiques superbes et que c’est beau quand Jean Michel PITON chante « C’est beau »
Gaspard Norito - Ouest France
Jean Michel PITON possède également ce don de renouveler les thèmes les plus déflorés par des textes très travaillés et une manière très personnelle de conclure.
Loïc Gicquel - La Nouvelle République
Festival de Vaison la Romaine 2012…Enfin, la standing ovation qui salua la prestation de Jean Michel PITON…fougue, voix puissante, extraordinaire présence en scène.
Festival de Barjac Parmi cette programmation, il faut accorder une attention spéciale au triomphe de Jean Michel PITON toujours aussi bon auteur et bon mélodiste mais avec une nouvelle aura, lumineuse et positive qui rayonne encore bien au-delà de la salle des Capucins de Barjac trop petite pour contenir le surcroit d’émotion.
Michel Trihoreau - Chorus
Jean Michel PITON est un fameux bonhomme à la voix de bronze et de grand vent, comme il en est peu. Un fraternel à la chevelure indisciplinée, à la barbe fleurie au regard droit comme un rayon de soleil…. « J’me régale » est un pur bonheur libératoire célébrant la vie à l’envie. Le reste est du même tonneau, ciselé et bourré à mitraille d’images fortes et généreuses ; mélodiquement impeccable…long chemin à l’équilibriste.
Jean Théfaine - Place Publique
Jean Michel PITON…je ne saurais que très imparfaitement décrire ce spectacle…On a l’impression d’avoir visité une cathédrale, d’en sortir émerveillé par ses dimensions et proportions et de s’apercevoir aussitôt qu’on a manqué la moitié des choses à admirer, les statues dans ce coin là, le retable de cette chapelle et les arcades de cette porte là…C’est ça, Jean Michel PITON, c’est une sorte d’architecture de la langue dont on s’imprègne des grandes lignes, de leur beauté, de leur élan, de leur majesté, et dont on se rend compte qu’il y a encore plein de choses à découvrir dans les intervalles et dans les subtilités…là où réside aussi sa poésie. Qu’ajouter de plus, sinon qu’après la tornade que constitue son concert, Jean Michel PITON est à réécouter calmement dans un fauteuil, avec le livret…inutile de dire que la cour du château lui a réservé l’ovation majeure.
François Bellart - Chroniques quotidiennes Festival de Barjac pour Tranches de scènes
Dans le dernier numéro de Vie Nouvelle je vous parlais du séisme de Barjac. En fait, il y en eût deux : le second s’est produit dans la cour du château, épicentre Jean Michel PITON : ovation debout pour la prestation de ce mégalithe de la chanson. Au sens physique et artistique. Son dernier CD porte bien son nom « J’me régale » ; nous aussi ! L’homme est comme une clarté humaine. Sensible et fraternel et d’une telle énergie, sur scène comme dans la vie. Comme chaque CD, celui-ci est une découverte, une belle et nouvelle aventure. Piton défriche les territoires de la chanson. Les musiques innovent, partent des continents inconnus, quant aux textes, c’est du travail minutieux, des bijoux travaillés, taillés avec passion.
Richard Vaillant - Vie Nouvelle
L’un de nos meilleurs écrivains de chansons explore des « paysages humains » où l’on se reconnaît : à la manière d’un aquarelliste, il dépeint la géographie des sentiments. Après les tempêtes, l’accalmie .Mais le souffle est puissant comme jamais…imagination féconde, foisonnement d’images. On retrouve ici, comme à l’accoutumée son regard pénétrant, sensible à l’extrême. Mais ce qui séduit au premier abord, c’est la richesse des mélodies. Ancrées dans un classicisme épuré, ouvertes sur demain et portées avec conviction par une voix au timbre parmi les plus beaux de notre planète-chanson.
Laurent Gharibian - Je Chante Magazine
J'aurai passé ma vie sur mes cordes vocales à glisser sur les mots comme on fait sur un fil...